Quinn Mallory, jeune étudiant de San Francisco cherche à concevoir un appareil anti-gravité. En réalité, celui-ci permet d'ouvrir un passage vers des mondes parallèles au notre. Après quelques péripéties, il finit par "glisser" avec Maximillian P. Arturo, un de ses professeurs, Wade Walles, collègue de travail et meilleure amie et un chanteur Rembrandt Lee Brown. Ceux-ci vont arriver dans un monde ravagé par le froid, où San Francisco semble totalement vidée de ses habitants. Une tornade les force à activer le vortex avant la fin du compte à rebours, créant une grave anomalie dans le fonctionnement du minuteur. Ils débarquent dans un monde où les Russes détiennent le pouvoir. L'aventure peut alors commencer...

Notre avis : 20/20

IMMANQUABLE !!! S'il ne devait y avoir qu'un épisode, ce serait celui-là ! On aborde un sujet assez délicat à traiter : et si le communisme avait battu l'impérialisme américain ? Les nombreuses touches d'humour et le suspense bien entretenu font que c'est un épisode inoubliable. Avis à tous les fans...

Pour la première fois, les glisseurs se trouvent séparés pendant la glisse. Sortant du vortex devant un campement de hippies, Wade et Rembrandt sont pris pour des divinités. Celui-ci retrouve le domicile de son double, censé être décédé au cours de la guerre. Il prend sa place mais s'attire des ennuis. Quinn et le Professeur, cherchent à les retrouver ainsi qu'un moyen de rentrer chez eux. Pris pour des terroristes, le F.B.I. compte les attraper. Une course-poursuite à travers la ville s'engage...

Notre avis : 16/20

Un épisode dynamique plaisant à regarder, rempli d'humour. On commence à mieux cerner les caractères de chacun des personnages.

Et si les Etats-Unis n'avaient pas obtenu l'indépendance au XVIIIème siècle ? Le pays semble gouverné par un Shérif tyrannique, le double d'Arturo. Celui-ci compte faire assassiner le dernier descendant de la couronne, le jeune Prince Harold -qui ne se doute de rien- et ainsi prendre le pouvoir. Les glisseurs doivent alors collaborer avec un groupe révolutionnaire qui a pour principal objectif de dénoncer les projets machiavéliques du Shérif...

Notre avis : 12/20

Encore un événement presque anodin qui avec le temps a pris une importance considérable en comparaison avec notre histoire. Les Etats-Unis semblent ici vouloir faire croire que leur démocratie est la meilleure qu'il soit pour un Etat. Nous voici présenté un futur roi bien faible qui risque d'être facilement influençable.

Les glisseurs se retrouvent en pleine société duale où les gens malades sont mis en quarantaine. Une mystérieuse bacille semble être à l'origine d'une vague de fièvre qui se propage dans tout San Francisco. Les services d'hygiène (la "California Health Commission") sont à la recherche d'un certain Quinn Mallory, le "patient zéro", premier individu à qui on a innoculé la maladie. Tout se complique lorsque Wade devient à son tour fiévreuse. Mais comment soigner tous ces gens lorsque aucun antibiotique n'existe ?

Notre avis : 16/20

Une rencontre passionnante entre deux Quinn bien différents. L'ambiance est des plus réussie. On ne savait pas que le Professeur avait des connaissances médicales si étendues !?

Les glisseurs arrivent dans un monde où un astéroïde menace de percuter la Terre. Malheureusement, leur départ ne sera possible qu'après l'impact. Alors que Quinn, Wade et le professeur cherchent désespérément une solution, Rembrandt essaye de profiter des derniers instants de sa vie. Arturo vient à rencontrer le double d'un de ses anciens étudiants et ami de Quinn, Conrad Bennish Junior. Celui-ci prétend qu'il est possible de détruire l'astéroïde en créant une bombe atomique. Aucun scientifique ne veut écouter ses propos. En effet, Albert Einstein est, dans ce monde, apparu comme un charlatan, et toutes ses théories sont passées aux oubliettes. Le professeur lui propose donc son aide pour réaliser cette bombe, ultime solution...

Notre avis : 19/20

L'histoire de ce monde ressemble en tous points à la notre, jusqu'au cours de la Seconde Guerre mondiale. On y retrouve une Terre qui n'a pas connu la prolifération des armes nucléaires et surtout leur utilisation sur le Japon en 1945. Autocritique américaine, rappelant les regrets exprimés par plusieurs scientifiques d'avoir contribué à la création de ces armes de destruction massive. Même si le projet est bien avancé et que le Professeur possède de solides connaissances scientifiques, il parait difficile de concevoir une bombe atomique en si peu de temps et sans réaliser de test.