Témoins d'un meurtre, les glisseurs font appel à la police qui leur demande d'oublier immédiatement ce qu'ils ont vu. En effet l'assassin appartient à un groupe qui se font appeler les Maîtres des Rêves. Ces adeptes sont capables de pénétrer dans les pensées et les rêves d'autres personnes les condamnant à de terribles cauchemars tellement réalistes qu'ils sont alors de véritables tortures mentales. Wade a malheureusement attiré l'attention de l'un d'entre eux, un dénommé Gérald, en refusant ses avances. Il ne lui faut alors plus dormir sous peine de tomber dans leurs pièges...

Notre avis : 14/20

Un épisode plutôt sympathique qui nous fait découvrir toutes les phobies de chacun de nos amis.

Les glisseurs font une arrivée fracassante devant une église. Là, Arturo se voit confier un enfant par une jeune femme le temps qu'elle aille allumer un cierge. Tout bascule lorsque le groupe comprend qu'elle vient de l'abandonner. Ils décident alors de la retrouver. Cela les amène dans un grand centre commercial perché dans le ciel. C'est une ville dans la ville. Ce monde est régit par un mode de consommation particulier. Ce système oblige les personnes endettés a dépenser au minimum 80% de leur revenu journalier, les condamnant à une servitude à vie. Malheureusement Rembrandt a mis la main dans l'engrenage entraîné dans la spirale folle de la consommation...

Notre avis : 11/20

Sympa les déguisements de Noël !!! Une histoire qui aurait pu être intéressante mais qui se révèle assez décevante à cause d'une fin trop facile.

Dans cette dimension, le mot d'ordre est le travail. Tout le monde se doit d'être le plus productif possible. Ce système provoque évidement un fort stress. Lorsqu'une personne est en rupture c'est à dire craque, elle est envoyée dans un parc d'attraction où elle est hypnotisée et revêtit une nouvelle identité. N'ayant pas les normes vestimentaires de ce monde -tailleur noir et chaussures clean- les glisseurs ne manquent pas de se faire remarquer. Tout bascule lorsque le professeur Arturo renversant son café s'énerve en pleine rue et se fait emmener chez le docteur Bolivar qui lui fait un lavage de cerveau. Il devient alors Sherlock Holmes et commence à enquêter sur une série de meurtres plus réels qu'il n'y parait...

Notre avis : 8/20

Nous ne dirons qu'un seul mot : bof !

Les glisseurs tombent dans un monde où la civilisation égyptienne, loin d'avoir disparu, le dirige. En intervenant pour sauver une jeune femme qui était attaquée par un scarabée géant, animal sacré, Quinn est transféré à l'hôpital en gage de peine, pour servir dans des expériences post-mortem. Quant à Wade, elle est condamnée à être enfermée vivante dans la pyramide du pharaon qui vient tout juste de mourir. En voulant venir à l'aide d'une de ses amies, Wade, Arturo et Rembrandt se retrouvent à leur tour coincés dans la pyramide avec le fameux scarabée, gardien du temple. S'en suit alors une véritable course contre la montre pour Quinn qui doit après s'être échappé de l'hôpital retrouver ses amis avant l'heure de la glisse...

Notre avis : 12/20

On retrouve le principe des premiers épisodes, c'est à dire qu'un événement différent dans le passé bouleverse totalement le cours de l'histoire tel que ne le connaissons. Un épisode donc pas mal mais de mauvais effets spéciaux en particulier pour le scarabée.

Mais qui ne connaît pas la charmante ville de "Paradis", avec ses jeunes habitants, sa plage et son monstre. Dans cette ville où les glisseurs arrivent, personne ne marche sur la pelouse. En effet vit dans la terre une étrange créature à l'aspect d'un gros serpent et dont les excréments (spécialité culinaire de Paradis) sont source d'immortalité. Mais voila il faut nourrir cette bête et l'arrivée de Quinn et ses amis dans cette paisible bourgade tombe vraiment à pic...

Notre avis : 14/20

Un principe délirant qui reste néanmoins amusant et distrayant. Un épisode plein de mystère avec un arrière goût d'X-Files qui n'est pas désagréable.