Cet épisode reprend un peu le fil conducteur de "la fin du monde" où un évènement du passé a marqué l'histoire. En effet ce monde n'a pas connu le nazisme de la seconde guerre mondiale et ses effets destructeurs. Une idéologie semblable s'est dons répandue sur l'ensemble de la planète.La premièreUn commerçant peu scrupuleux venant d'appercevoir Rembrandt n'a pas tardé à signaler sa présence aux autorités, et un groupe de "nettoyeurs" s'est empressé de l'enlever en pleine rue, sans être inquiété. En voulant retrouver leur ami, qui de son côté ne cherche qu'à s'évader du camp où il est retenu, le reste du groupe découvre que la vérité est encore plus moche qu'elle ne l'était déjà...

Notre avis : 6/20

Dès la première scène, on voit une personne de type asisatique se faire tabasser, le ton est donné. L'idée était bien pensée mais l'épisode a du mal à suivre. On remarquera le tatouage des troupes de nettoyeurs qui vous rappellera de lugubres souvenirs.

Imaginez un jeu avec deux camps, d'un côté des kromaggs, de l'autre des humains, une vaste dimension inhabitée et sauvage, le tout avec une simple règle : les hommes doivent rester vivant pendant 7 jours au cours desquels de jeunes humaggs qui doivent faire leurs preuves auprès de leurs supérieurs, vont tout tenter pour les éliminer. Les survivants gagnent le droit de quitter cette dimension. Quoi de mieux que l'arrivée de nos glisseurs pour mettre un peu de piquant à ce jeu...

Notre avis : 10/20

Un épisode assez sympathique malgré la présence répétée des Kromaggs au cours des épisodes de la saison 4. Une fin qui redonne de l'espoir, eh oui ils ne sont pas tous si méchants ces krokros (ou du moins les Humaggs).

L'activité principale de ce monde est de regarder une emission présentée par Barry Lipschitz. Quinn, qui a perdu le reste du groupe, va tenter de participer à cette dernière pour pouvoir les retrouver. De son côté, Colin apprend qu'il doit se marier...

Notre avis : 16/20

Du Sliders comme on en aime ! Cet épisode n'est pas sans rappeler les talk-shows à la Jerry Springer.

Les glisseurs tentent désespérement d'échapper une fois de plus à la vigilance de leurs ennemis jurés. En effet, ils ont glissé dans un monde assez sauvage où des équipes de Kromaggs essaient tant bien que mal de localiser d'éventuels humains. C'est à ce moment que débarque une jeune femme en fuite avec son jeune enfant. Aussitôt pris sous la coupe des glisseurs, elle leur explique qu'elle vient de fuir un camp de reproduction kromagg, où les humaines s'accouplent avec ces monstres, les femelles ne pouvant plus assurer ce rôle. A la surprise générale, elle a connu Wade enfermée dans le même camp (comme par hasard !). Quinn est prêt à tout pour retrouver Wade avant l'heure de la glisse. Après un bref combat contre une patrouille kromagg, nos amis découvrent avec stupeur que Wade vient d'être transferée dans une autre dimension. Ils glissent alors loin de ce monde ramenant la jeune femme sur sa Terre. Ils se retrouvrent dans un monde très meurtri et méfiant. En effet, ils viennent, il y a peu de temps, de payer un lourd tribu pour battre les armées kromaggs à l'aide d'une nouvelle arme. L'occasion est trop belle pour Rembrandt qui cherchait jusque-là une arme capable de les balayer de sa Terre. Mais pas facile de découvrir le secret le mieux gardé de ce monde, qui plus est, quand on est un étranger...

Notre avis : 9/20

On prend les mêmes et on recommence, ça commence à faire beaucoup ! Mais bon, cet épisode se laisse regarder facilement et surtout nous révèle tout de même enfin ce qui est arrivé à Wade. (A noter une fin décevante et pourquoi ils ne l'ont pas pris cette putain d'arme bordel, il fait chier Quinn, on aurait été débarassé des Krokros.)

Les sliders se retrouvent dans une société où il existe une fracture sociale entre les gens "connectés" et les autres. Tandis que les premiers vivent confortablement dans de grands immeubles verrouillés et surveillés par des patrouilles, complètement dépendants aux nouvelles technologies, les derniers vivent à l'écart des villes loin de tout appareil électrique. Dans leur malheur (comme toujours !), nos voyageurs sont séparés, Quinn et Rembrandt dans l'un de ces immeubles, Colin et Maggie dans la rue. Et pas de chance, pour glisser mieux faut être tous ensemble !

Notre avis : 8/20

Non seulement le scénario est bien léger mais en plus on a le droit à de l'eau de rose... Une fois de plus, une idée intéressante a été gâchée, c'est bien dommage !